La science intervient dans ce qu’on appelle recherche aux preuves psychiques. Évidemment, le profilage psychologique est une recherche scientifique d’un schéma précis des raisons auxquelles les crimes sont commis. De ce fait, les scientifiques réalisent des différentes conclusions à partir des faits avérés ou des schémas répétitifs comme le meurtre.
Le profilage psychologique, un outil indispensable
Le profilage est une enquête soit de déduction soit d’induction, les hypothèses émises sont rédigées de façon à admettre que les personnes commettant un type d’acte précis présentent les mêmes problèmes psychologiques. Les études de profilage psychologique sont effectuées sur les lieux de crime avant tout pour déterminer les différentes étapes de la préparation de la personne présumée ayant un problème mental. Les motifs, les raisons ainsi que les actions poussant la personne à réaliser un quelconque acte sont dorénavant déterminés. La définition du profilage soumet que l’étude comportementale d’une personne est un outil pour définir ses actions futures.
Le profilage psychologique, valeur sure ?
Le profilage psychologique intègre les paramètres de troubles mentaux et du sadisme d’un auteur de crime. En parfait accord avec la psychopathologie médicale, le profilage psychologique permet de définir en quelque sorte les pulsions déterminant le crime (pulsions sexuelles, problèmes parentaux…). Le profilage psychologique présente des limites dans certains cas, c’est-à-dire que le profil dérangé d’une personne ne pourra toujours pas forcément avoir un impact sur ses actes. La définition du profilage connait alors une limite quant à des enquêtes trompeuses, ou dans le cas du profilage comportemental en rapport avec certains comportements. Du fait de l’établissement d’un profil de base à partir d’une divergence de personnes par rapport aux enquêtes menées auparavant, le profilage psychologique pourrait être une chose de pas absolument justifié.
Limites du profilage
Dans de nombreux cas, la définition du profilage ne correspond pas aux profils préétablis ou des profils de base comme on dit. Les délinquances, actes criminels ou atteintes sexuelles ne sont pas en réelles concordances avec le profil type préconçu. De ce fait, le calquage par rapport à des anciennetés ou encore à la typologie comportementale, n’est fiable surtout si la personne profilée a une divergence de comportement. Entre autres, le profilage psychologique n’a pas de valeur juridique réelle parce qu’un profil établi ne fait en aucun cas d’une personne un criminel. Les enquêteurs trompeurs pourront aussi influencer le résultat et aboutir à un non-lieu du profilage ou une induction en erreur.